Il y a un mois, nous avons eu la chance de rencontrer la belle ville de
Tours, en France ; mais je ne suis pas sure si quelqu’un lui avait expliqué
à Tours que nous allions arriver. Donc je sens que il faut que je lui écrive
des lignes.
Je souhaiterais donner à Tours la bienvenue à notre monde, le monde des étudiants
que lui ont visité. Le notre est un monde où on faisait beaucoup des erreurs
sans en prendre conscience ; par fois, nous dérangions les gents de ville,
mais ça n’était notre intention.
Chez nous, Londres, c’est un lieu très diffèrent à Tours. Pour commencer,
las dimensions de les villes sont bien distinctes : Londres est une grande
métropolie tandis que Tours est une
ville provincial, plus petite et avec un rythme plus tranquille. Pendant les
premiers jours, j’ai prix conscience que nous étions très pressés pour temps et
nous avions essayé d’imposer nôtres habitudes. Après quelque temps, nous avons
compris que à Tours les distances sont pas loin et que il ne fallait pas courir
dans las rues.
Si j’avais regardé une carte de la ville, je l'aurais su.
Ensuite il y avait une autre chose qui m’a frappé : Tours est un ville
silencieux et sans les bruits des voitures. Parce que j’habite à Londres depuis
6 ans, je m’ai habitué a les bruits des autobus de deux étages (qui sont très
iconiques mais aussi très bruyants, parce que ils ont construis environ la
Deuxième Guerre Mondial). En général, le métro à Londres est aussi bruyant, et il
y a un grand nombre de habitants qui habitons ici, ensemble avec les touristes; irrémédiablement tout ça fait quelque ville bruyant. Pour avoir les
conversations, nous devons devenir la voix plus fort et à force d’habitude, ça
devient notre ton de voix.
Donc quand nous sommes arrivés à Tours, nous allions par les rues et nous
nous asseyions dans les terrasses et les restaux faisant de bruit et dérangeant
des autres clients ! Il a fallu deux ou trois jours jusque j’ai réalisé
sur ça : les Françaises ne sont pas bruyants de tout. Ce même soir, je
suis réentrée chez moi (chez ma famille d’accueil) et j’ai commenté ça avec
eux ; pas une surprise, ils m’ont dit que les groups des étudiants sont
réputés pour n’être pas très polîtes comme ça, et que à cause de ça, par fois
nous ne serions pas bien reçus dans quelques restaurants. Ils avaient
raison ; nous n’avait pas pu prendre une table dans un restaurant ce midi
car nous étions huit étudiants (avec nos
huit sacs à dos – pas discrets de tout).
Heureusement, j’ai changé cette dynamique rapidement, parce que je voulais
rencontrer des personnes locales et avoir une expérience pas exclusivement touristique.
Et avec bonheur j’ai réussi et j’ai parlé avec beaucoup des propriétaires des
maisons de restauration, coiffures, pêchers,
boulangers et des autres clients qui m’ont aidé comprendre leur culture
et devenir une outre citoyen de la ville.
Pour terminer, je peux vous raconter que la combinaison de la lumière et le
ciel bleu, le silence, vélos et rues piétonnières, les cafés et restaux avec
ses terrasses, les marchés et bien sûr,
la belle Loire et les copines de la ville, font de Tours une ville très facile de
la vivre, accueillante et où on se sent comme chez soi même vite.
Pour tout ça et plus encore, je voudrais vous dire, belle ville de Tours,
merci beaucoup et j’espère avec impatience vous revoir bientôt !!
Super reflexion sur la perception des etudiants etrangers par les habitants de la ville!
ReplyDeleteJ'adore aussi l'interview de Alain ;-)
Est-ce que vous avez mange ensemble apres?
Karine